[ad_1]
#RobotsLivreurs: SoftBank mise près d’un milliard de dollars sur Nuro
SoftBank vient de parier 940 millions de dollars dans Nuro, startup californienne spécialisée dans la livraison par véhicule autonome. Créé en 2016 par Dave Ferguson et Jiajun Zhu, anciens ingénieurs de Google, Nuro propose un service de livraisons de courses ou de repas via des véhicules autonomes. En juin dernier, Nuro s’est par exemple allié à la chaîne de supermarchés Kroger pour tester son service de livraison.
Selon The Wall Street Journal, la startup est maintenant valorisée à 2,7 milliards de dollars.
La jeune pousse souhaite profiter de cette levée pour s’étendre et conclure de nouveaux partenariats. Ce tour de table va lui permettre d’accélérer dans un secteur où s’affrontent déjà plusieurs acteurs comme Starship Technologies ou encore Boxbot.
Ce n’est pas la première fois que SoftBank investit de manière significative dans une entreprise en pleine expansion, comme cela a été le cas dans WeWork.
#LegalTech : Call A Lawyer lève 500 000 euros et vise l’international
La startup française Call A Lawyer, une application mobile de mise en relation instantanée avec des avocats, annonce la clôture d’une première levée de fonds de 500 000 euros. Call A Lawyer, créée en 2016 par Mathieu Davy, François Pekly, et Cyril Feraudet, propose à des particuliers, (et désormais à des professionnels), d’être mis en relation avec un réseau de plus de 500 avocats dans toute la France, et dans tous les domaines du droit.
L’intégralité des fonds levés seront dédiés à l’acquisition de nouveaux clients, par le biais d’investissements en marketing et développement commercial. Call A Lawyer a choisi de concentrer son développement sur une cible professionnelle. « Cette levée de fonds va nous permettre d’adresser le secteur des TPE et PME en facilitant la mise en relation entre ces entreprises et les avocats afin qu’elles puissent être conseillées et accompagnées au plus près de leurs besoins» déclare Mathieu Davy, Avocat et fondateur de Call A Lawyer.
L’objectif pour l’année 2019 sera de développer ses services à l’étranger, notamment dans des pays francophones comme la Côte d’Ivoire. Des négociations de partenariats sont également en cours en Belgique, en Suisse, en Espagne et au Portugal.
#Technicolor: le groupe en négociation pour céder son activité Recherche et Innovation
AFP – Le groupe français de services et de technologies pour les médias numériques Technicolor, en difficultés financières, a engagé des négociations exclusives avec la société américaine InterDigital afin de lui céder son activité de Recherche et Innovation, a-t-il annoncé lundi. Technicolor dit avoir reçu « une offre ferme » de la part d’InterDigital pour son activité, dans un communiqué, sans toutefois divulguer le montant de l’opération. Pour améliorer sa santé financière, le groupe français avait cédé en mars dernier son activité de licences de brevets.
L’acquéreur était déjà InterDigitial, spécialisé dans la recherche et le développement dans le domaine des technologies mobiles. La nouvelle transaction « prendrait la forme d’un achat d’actifs avec un accord de coopération » en matière de recherche, a précisé Technicolor. L’opération devrait lui permettre de réduire « significativement ses coûts», d’environ « 21 millions d’euros d’Ebitda (excédent brut d’exploitationn ndlr) ajusté sur la base des coûts 2017», à partir de 2020, ce qui correspond « à un retour sur investissement inférieur à 12 mois », est-il encore indiqué.
« Ce projet de cession permet de poursuivre la simplification de la structure du groupe tout en veillant à ce que les équipes de Recherche et Innovation rejoignent une organisation technologique bénéficiant d’une réputation internationale bien établie», a souligné Frédéric Rose, directeur général de Technicolor, cité dans le communiqué. Le groupe « sera désormais en mesure de concentrer ses ressources exclusivement sur ses activités opérationnelles», a-t-il ajouté. Avec la cession de son activité de licences de brevets à la société américaine, Technicolor s’était recentré sur ses deux activités restantes, moins aléatoires: Entertainment Services, des services de production pour le cinéma et la fabrication de DVD, ainsi que Maison connectée.
A la Bourse de Paris, vers 08H30 GMT (09H30 à Paris) l’action de Technicolor était recherchée (+3,62% à 0,94 euro), dans un marché en hausse de 0,77%. Le groupe a accusé en 2017 une perte nette de 173 millions d’euros, contre 26 millions en 2016, subissant l’effet d’une dépréciation de 113 millions d’euros due à la cession annoncée de son activité de licences de brevets.
#iPhone: Apple veut faire le ménage dans les applications « espionnes »
AFP – Apple a exigé des développeurs d’applications qu’ils cessent d’utiliser des systèmes qui enregistrent les activités des usagers sur iPhone à leur insu, sous peine de les retirer de sa boutique en ligne, selon le site TechCrunch vendredi. Les conditions d’utilisation de l’App Store, la boutique en ligne d’applications d’Apple, « exige que les ‘apps’ demandent l’autorisation aux utilisateurs et leur disent de façon claire et visible quand elles enregistrent, téléchargent, ou conservent d’une façon ou d’une autre l’activité de l’usager», a indiqué Apple dans une déclaration citée par le magazine en ligne spécialisé dans les technologies.
Si les développeurs ne cessent pas ces pratiques ou n’en avertissent pas les utilisateurs, leurs applications seront retirées de l’App Store, a ajouté le fabricant de l’iPhone, qui se pose régulièrement en héraut de la protection des données personnelles et critique les errements des autres géants technologiques en la matière, à commencer par Facebook. Contacté par l’AFP, Apple n’a pas donné suite. Selon TechCrunch, certaines applications enregistrent en effet à leur insu l’activité des usagers. Le magazine cite en exemple celles du voyagiste Expedia ou de la chaîne de vêtements Hollister, dont aucune ne demande selon lui leur permission aux usagers. « Même si les données sensibles sont censées être masquées, certaines –comme les numéros de passeport ou de cartes bancaires– ont fuité», assure le magazine.
Concrètement, ces « apps » utilisent un code informatique mis au point par une société spécialisée appelée Glassbox, qui capte l’activité de l’usager en train d’utiliser l’application. La semaine dernière, Apple s’était fâché contre Facebook après la révélation que le réseau social avait rémunéré des particuliers pour utiliser une application professionnelle analysant l’activité des usagers, parmi lesquels de jeunes adolescents. Facebook avait assuré n’avoir rien caché aux utilisateurs participants mais Apple a estimé que cela enfreignait leur accord puisque cette application, utilisable sur iPhone, n’était censée être employée qu’en interne chez Facebook.
[ad_2]