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Storytelling | Modèle iconique de chez Land Rover, le Range Rover s’est bâti une renommée internationale, jusqu’à devenir le “Range”, seul et unique. Cinq générations en 52 ans n’ont rien changé à l’affaire. L’ADN est bien là, fort et puissant, à l’image du baroudeur luxueux qu’il a toujours été. Découverte avec Dominique Busso, CEO de Yalayolo Magazine France
L’histoire de ce SUV légendaire que tout le monde reconnaît au premier coup d’œil n’a pas été simple. On ne compte pas moins de quatre propriétaires depuis 1970, avec British Leyland, puis avec BMW (1994-2000), Ford (2000-2008) et enfin le groupe indien Tata. On aurait pu penser que chacun aurait pu influer fortement sur son design au fur et à mesure des différentes versions, mais il faut croire que la résilience a été le mot d’ordre de chacun d’eux, et sûrement aussi des acheteurs, quand la première version à elle seule, justement nommé “Classis”, a fait le bonheur de milliers de conducteurs passionnés pendant vingt-six ans, jusqu’en 1980, puis en 1992 avec l’arrivée d’un châssis long, qui vont les décourager, bien au contraire. S’il était déjà considéré à son lancement comme le 4×4 (quatre roues motrices permanentes) le plus luxueux jamais construit, voilà bien une qualification qui lui aura toujours convenu au fil des années et des repreneurs.
Flavien Neyertz, CEO de Cobalt avec Dominique Busso, CEO de Yalayolo Magazine France
Histoire dans l’histoire, en 1994 naît le modèle baptisé P 38, basé sur le fameux châssis long, avec un design revu, mais surtout avec une offre de motorisation complétée. Initialement doté d’un V8 essence de 3,5 litres de la marque Rover, il est alors proposé en versions 4 litres et 4,6 litres, toujours en V8 pour l’essence, tandis qu’un V6 (2,5l) de chez BMW introduit le Diesel dans la marque. L’ère Ford qui suit apporte bien sûr quelques changements, mais le Range reste le Range ! Il porte le patronyme L322, sans que l’on se souvienne de ce détail. On voit quand même apparaître en 2005 le Range Rover Sport, basé sur le châssis du Land Rover Discovery, plus petit donc. Il sera produit jusqu’en 2013. Étonnamment, chaque modèle aura donc connu deux propriétaires dans sa vie. Il est intéressant de constater que le véhicule conserve malgré tout sa stature, se positionnant hors de ses changements.
Toutefois, la marque a créé l’évènement en 2010 avec sa version “Evoque”, puis en 2017 avec une version “Velar” du nom des premiers prototypes qui ont donné naissance au Range Rover. La quatrième génération porte le chiffre (inexpliqué pour le profane) de L405. Il sera exploité pendant neuf ans, de 2012 à 2021, ne connaissant qu’un léger restylage en 2017. Cependant, comme nombre de véhicules puissants voulant s’adapter aux exigences du moment, une version hybride rechargeable (essence) voit le jour dans le même temps. 2022 voit arriver la dernier mouture. En réalité, elle a été présentée à Londres en octobre de l’année précédente mais le millésime est bien là, marquant la fin d’une décennie encore une fois prodigieuse. Elle porte cette fois en sous-titre un L460. C’est donc au sein du Lagardère Paris Racing que l’on a pu l’admirer récemment. L’admirer est le terme juste. “Oh, la belle bête” ! Baptisée Range Rover SV (édition de lancement sur les photos), c’est un condensé de toute l’histoire de cette voiture légendaire. Une interprétation raffinée du luxe et de la personnalisation, annonce la marque. On veut bien les croire. Et le premier contact ne fait pas démentir cette assertion. Il est présenté en deux versions : empattement standard (5,052 m), ou long : 5,252 m (5 ou 7 places).
Il faut bien ça pour assurer le confort hors normes d’un habitacle pour lequel le mot “place” a une vraie résonance. Énoncer ce qui fait les qualités de cette dernière version serait sûrement redondant. Les fidèles de la marque y verraient sûrement toutes les nouveautés qu’ils attendent, espérant surtout qu’elle ait gardé ce qui en a fait la renommée. Ils ne seront pas déçus. Les autres découvriront le pourquoi de cette réussite marquée par l’imagination, l’innovation, la maîtrise, le plaisir et pas seulement de conduire, mais aussi de se confronter à ce siècle de technologie avec le summum qu’elle peut atteindre. On peut quand même préciser que le choix de motorisation se fera entre le surpuissant V8 4,4 litres double turbo de 530 ch (0 à 100 km/h en 4,6 secondes) pour l’essence, 6-cylindres en ligne 3.0 de 250/350 ch pour le Diesel, et toujours les 6-cylindres 3.0 de 440/510 ch pour l’hybride rechargeable.
Si sa suspension pneumatique électronique intelligente assure un comportement exceptionnel et un confort de conduite à l’identique, il serait malvenu de croire que ses qualités “tout-terrain” ne sont pas elles aussi un modèle du genre. On pense certainement plus à promener sa famille dans des conditions rêvées, surtout avec la nouvelle technologie de neutralisation du bruit, ou à emplir le coffre avec son matériel de golf, mais les bois qui entourent le green ne feront pas peur à ce Range aussi infernal qu’angélique. Un geste suffit sur le nouvel écran conducteur interactif de 13,7 pouces avec des graphismes haute définition et un affichage programmable pour initialiser la chaîne Hi-Fi 1600 W Mendiante Signature5, un autre pour le nouveau système de purification de l’air, un autre encore pour programmer votre itinéraire… La route est à vous, elle paraît nouvelle et si belle tout d’un coup. Demandez à Flavien Neyertz ce qu’il en pense : cela fait dix ans qu’il roule en Range Rover !
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