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Si ce plan de relance de 2008 avait permis un élan inédit d’innovation et d’entrepreneuriat en France, les efforts pour remédier à la crise actuelle semblent pour le moment bien insuffisants pour permettre la survie de cet écosystème. Il est grand temps d’agir, et nous avons tous et toutes notre rôle à jouer. Mais quelles sont les solutions concrètes et efficaces ?
La relance, une nécessité
Il y a quelques semaines, l’Association France Digitale a publié quinze propositions qu’elle souhaite présenter au ministre de l’économie Bruno Le Maire. L’objectif ? Soutenir et accélérer la transformation numérique du pays, en mettant notamment les startups au coeur de la solution. Parmi ces propositions, celle de mobiliser 10 milliards d’euros d’investissements privés dans les startups. Cet investissement est de plus en plus plébiscité par les particuliers, le nombre de levées de fonds avait d’ailleurs augmenté de plus de 14% entre 2018 et 2019.
Cette solution d’épargne alternative, auparavant uniquement accessible aux professionnel·le·s du secteur, est désormais à la portée de tous et toutes, et la montée en puissance des plateformes d’investissement participatif montre que les particuliers souhaitent avoir l’opportunité de participer aux projets d’avenir des entrepreneur·e·s français.
Sur notre plateforme, une des plus importantes en France sur le sujet du financement en capital des startups, les six mois précédents le confinement avaient d’ailleurs été les plus performants de notre histoire, mais ont été suivi par un ralentissement brusque et considérable, comparables à un retour en arrière de cinq ans pendant les mois de confinement.
C’est pourquoi je pense qu’il est aujourd’hui plus que nécessaire que soient enfin mises en place des mesures efficientes pour encourager l’investissement dans les startups par les français, et leur permettre de participer directement et efficacement à l’avenir économique de notre pays.
Des solutions concrètes à apporter
Le manifeste de France Digitale va directement en ce sens, en proposant notamment de réformer le dispositif Madelin en augmentant le taux de réduction à 50% sur l’IR PME. Une réduction du risque considérable pour les particuliers et donc une incitation très forte.
La deuxième proposition, qui est d’augmenter le plafond à 100 000 euros par part fiscal (contre 100 000 euros par couple aujourd’hui), et cela en dehors du plafonnement global des niches fiscales sur l’IR, pousseraient les investisseurs privés à investir plus encore.
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